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À la rencontre de…

 
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Écologie, horizon politique, engagement : rencontre avec Corinne Morel Darleux.
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Colorisme et littérature jeunesse avec Laura Nsafou
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Mirion Malle nous parle de sa première BD de fiction
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À la rencontre de Catherine Ocelot
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L’actualité Women who do stuff

 
L'actualité wwds
Ressources anti-racistes à destination des personnes blanches
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Carte des assos féministes en France
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Numéro 1 de Women who do stuff en accès libre !
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Heures
Dans son article, Céline Béguian nous parle de la question du pardon. Peut-on pardonner mais surtout, le doit-on ? Psychologue spécialisée dans le traumatisme, elle revient sur le pardon dans la sphère familiale, notion complexe coincée entre le devoir et l’amour filial. Peut-on pardonner quelqu'un qui ne souhaite pas l'être ? Peut-on pardonner quelqu'un qui ne reconnaît pas sa faute ? Céline Béguian déconstruit le mythe du pardon pour montrer qu’il y a plusieurs voies possibles. À retrouver dans notre second magazine, disponible en prévente. #wwds #womenwhodostuff #wwdsmagazine2 #famille #lepardon
Fabriqués à la main, les molas font partie du costume traditionnel des femmes du peuple kuna, vivant principalement au Panama. Plusieurs couches de tissus sont assemblées pour former les plastrons et les dossards des corsages portés quotidiennement. Entre 2 et 7 couleurs différentes sont cousues et découpées pour former des motifs géométriques souvent inspirés de la nature environnante. Les molas, signifiant le plumage de l’oiseau, sont l’héritage d’une tradition plus ancienne de peinture sur le corps. Considéré comme un art exclusivement féminin, chaque mola est normalement destiné à l’usage personnel de la femme qui le fabrique. Cependant, depuis les années 80, certains sont vendus aux touristes afin de garantir une source de revenus pour les artisanes. #wwds #womenwhodostuff #mola #kuna #panama #artisanat
Un grand merci à toutes les contributrices qui nous ont fait confiance, nous sommes très heureuses de vous compter parmi nous pour ce nouveau magazine ! Merci à vous pour vos mots, photographies et illustrations @rhesusnega, @orpheanegra, @barbusseburo, @axellemnn, @beya_rebai, @camille_de_cussac, @cmurhula, @clementinespiler, @taspensea, @dorotheecaratini, @mingou_mango, @fania_noel, @fnnydmrs, @__hanemone__, @helene.baum, @illanaweizman, @jenas_elle, @kadiatoukadiatoukadiatou, @mrsrootsbooks, @lickiemcguire, @lila.lefranc, @lisotherme, @collectif_ntarajel, @louise_de_crozals, @luciealbrecht, @lucieronfaut, @attiogbemagali, @walquitea, @ohunmarin, @hansy_renard, @mayamihindou, @mcsqurrl, @mirionmalle, @morgane_fadanelli, @tweewitch @paulinelewis, @elpavina, @roro_mawouane, @talineoudjian, @tarmasz, @wendyleneillon, @youqinelfvr. (Il manque certaines d'entre vous, faites-nous signe !!) Et merci à toustes pour cet accueil incroyable ! Nous avons atteint 50% de notre objectif de 600 précommandes ! #wwds #womenwhodostuff #wwdsmagazine2 #famille
Astrophysicienne, artiste, poète, spécialiste en arts martiaux : cette jeune écossaise a tout d’une super-héroïne. Naziyah Mahmood, née d’une mère anglaise et d’un père d’origine pakistanaise, connaît la discrimination. Elle raconte qu’elle a commencé à s’intéresser aux arts martiaux jeune afin d’être forte pour pouvoir protéger sa mère. Naziyah a pratiqué au fil des années un tas d’art martiaux différents pour finalement se spécialiser dans le Geom Sui, art coréen qui s’exerce avec des épées. Elle explique qu’étant malvoyante, les arts martiaux lui ont permis de prendre confiance en elle et d’aiguiser sa perception de son environnement. Passionnée d’astronomie depuis toujours, Naziyah est une scientifique brillante : elle a notamment travaillé pour le CERN et a été analyste de mission pour l’Agence Spatiale Européenne. Elle a gagné le prix “EQUATE Scotland: Leading Women of Scotland in STEM‘ en 2016 et œuvre souvent avec Equate pour promouvoir et encourager les femmes dans le milieu STEM. Lorsqu’elle est invitée à des évènements officiels organisés par le gouvernement écossais, elle n’hésite pas à s’exprimer pour déplorer l’absence de personnes BAME (Black, Asian and Minority Ethnic) lors de tels évènements. (Crédit photo : Alistair Cox) #wwds #womenwhodostuff #NaziyahMahmood #womeninSTEM #artsmartiaux #GeomSui
Voilà plusieurs mois qu’on s’y est remises, on peut désormais vous présenter notre nouveau magazine, sur le thème de la famille ! La couverture de ce numéro a été réalisée par @beya_rebai et nous sommes très heureuses de vous la montrer aujourd’hui. Vous retrouverez plus de 50 contributrices pour parler de ce sujet complexe qu’est la famille. Nous avons axé le thème sur 3 concepts : la transmission, la filiation et la famille que l’on choisit. Nous vous en parlerons un peu plus en détails ce week-end, et tenez vous prêt•es, les préventes débutent mardi ! On a hâte ! #wwds #womenwhodostuff #wwdsmagazine2 #lafamille
Également poète, professeure, essayiste et dramaturge, Kathleen Collins et son œuvre semblaient être destinées à tomber dans l’oubli. Décédée en 1988 à seulement 46 ans, c’est sa fille Nina qui porte son travail en héritage et se démène pour que les écrits et films de sa mère soient publiés et accessibles au grand public. Son film Losing Ground, tourné en 1982 et premier long métrage réalisé par une femme noire aux États-Unis, n’est sorti au cinéma qu’en 2015 et est acclamé par la critique. Il place alors Kathleen Collins comme figure majeure du cinéma indépendant américain, au même titre que Julie Dash et son fabuleux Daughters of the Dust. Inspirée par Lorraine Hansberry, le travail de Collins se concentre sur la femme noire indépendante, intellectuelle et artiste. Une femme dont les interrogations personnelles sur le mariage et la maternité nourrissent une vision plus grande. Quelle est la place d’une femme noire dans la société américaine des années 70, en pleine lutte pour les droits civiques ? Le 5 juin est sorti aux @leseditionsduportrait Journal d’une femme noire, un ouvrage qui rassemble des nouvelles, des lettres et d’autres écrits de Kathleen Collins, inédits en français. (Crédit photo : Les Éditions du portrait) #wwds #womenwhodostuff #KathleenCollins #losingground
Il faut attendre le 13 juillet 1965 en France pour que les femmes mariées obtiennent l’indépendance financière. Jusqu’alors, les femmes mariées devaient obtenir l’autorisation de leurs maris pour ouvrir un compte en banque, signer un chèque ou même pour travailler. La responsabilité était donnée au « chef de famille », titre supprimé en 1970, donnant ainsi l’égalité aux époux en terme d’éducation parentale. Plus libres si elles étaient célibataires, les femmes mariées étaient donc considérées comme incapables de gérer leurs propres finances. La loi sur les nouveaux régimes matrimoniaux de 1965 permet ainsi la libération financière des femmes et aide à leur autonomie. #wwds #womenwhodostuff #indépendancefinancière #chéquier #droitsdesfemmes
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